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LANCEMENT DES SUCRES À LAC-TREMBLANT-NORD

Publié le 20 février 2020 - Écrit par Émilie Bolduc

Catégorie :

  • Outaouais-Laurentides
  • Citoyen/Citoyenne
  • Producteur/Productrice
  • Communiqués

100 ans : une sucrée de belle histoire à raconter et à célébrer

La saison des sucres 2020 a été inaugurée officiellement aujourd’hui à Lac-Tremblant-Nord, par la traditionnelle première entaille. Véritable rituel annuel dans le milieu acéricole, l’événement a pris des airs de fête, à l’Érablière du berger, où on a également souligné le 30e anniversaire du plan conjoint en acériculture. Par la même occasion, le livre Si l’érable m’était conté, qui relate 100 ans d’histoire en acériculture au Québec, a été lancé.

Lancement de la saison des sucres

L’activité initiée par le Syndicat des producteurs acéricoles Outaouais-Laurentides s’est déroulée en présence de Kimberley Meyer, mairesse de Lac-Tremblant-Nord, d’Isabelle Paré, attachée politique de la députée fédérale de Laurentides-Labelle Marie-Hélène Gaudreau, de producteurs acéricoles et d’autres acteurs de la communauté.

Normand Foisy, président du Syndicat des producteurs acéricoles Outaouais-Laurentides, a mis en relief une facette de l’acériculture qui est souvent occultée : l’érablière est avant tout une forêt, exploitée durablement et préservée par les soins des producteurs.

« L’acériculture, c’est le plaisir lié à notre emblématique sirop, mais c’est aussi un exemple de production en symbiose avec l’environnement, a noté M. Foisy. L’érablière est un milieu naturel de vie, avec une flore, une faune et le cycle de l’eau. Elle n’est pas une monoculture : de nombreuses essences y cohabitent.  En préservant les boisés, l’acériculture contribue également à la captation du carbone et au maintien des paysages naturels.  Je ne connais pas de culture qui allie mieux plaisir, passion et développement durable. »

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Les Producteurs et productrices acéricoles du Québec se racontent

L’année 2020 coïncide avec le 30e anniversaire de la création du plan conjoint en acériculture. Pour l’occasion, les Producteurs et productrices acéricoles du Québec tenaient à raconter leur histoire et celle de notre patrimoine, afin de la faire connaître au plus grand nombre. C’est ainsi qu’est né le livre Si l’érable m’était conté : 1920 – 2020, 100 ans d’acériculture au Québec.

Construit en 16 chapitres entrecoupés de photos de familles acéricoles, le livre Si l’érable m’était conté, 1920 – 2020 : un siècle d’acériculture au Québec campe le contexte qui, dès les années 1920, a mené à l’action collective et à la création du système acéricole québécois. Il raconte une histoire de passion et la réalisation du potentiel d’un produit dont le Québec est le premier producteur mondial.

Si l’érable m’était conté, 1920 – 2020 : un siècle d’acériculture au Québec est disponible en ligne au ppaq.ca/livre Ce lien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre. Coût : 22 $. Le prix inclut la taxe de vente et les frais postaux. Ce livre est disponible en français seulement.

À propos des Producteurs et productrices acéricoles du Québec et de la marque Érable du Québec

Les Producteurs et productrices acéricoles du Québec (PPAQ) ont pour mission d’assurer la promotion des intérêts des acériculteurs et acéricultrices du Québec et de développer le plein potentiel de production et de ventes des produits d’érable du Québec, tout en respectant les règles de développement durable. Ils représentent 11 300 producteurs et productrices et 7 400 entreprises acéricoles dont la qualité du travail permet au Québec d’assurer en moyenne, et annuellement, 72 % de la production mondiale de sirop d’érable. Les PPAQ sont fiers de valoriser la marque Érable du Québec en plus de coordonner les efforts de mise en marché et de promotion des produits d’érable du Canada à l’international au nom de l’industrie canadienne de l’érable. Les PPAQ orientent et animent également le Réseau international de recherches et d’innovation sur l’érable.