Vers une agriculture bas carbone : agir avec prudence!
Les quatre fiches descriptives (ci-dessous), portant sur le marché carbone actuel, ont été réalisées dans une perspective d’information et de sensibilisation aux particularités et aux enjeux spécifiques liés au secteur agricole québécois.
L’illustration suivante représente les principaux postes d’émissions de gaz à effet de serre (GES) ou de séquestration du carbone ainsi que les trois GES prédominants à la ferme.
Les principaux postes d’émissions sont les engrais et amendements, l’énergie, la production et l’achat des aliments, et la fermentation entérique provenant des animaux et de la gestion des déjections animales. Les postes de séquestration du carbone sont les arbres et arbustes et, dans certaines conditions, les sols agricoles.
De quoi est-il question?
Cette première fiche décrit succinctement :
- l’état actuel du marché du carbone;
- la différence entre les deux types de marchés existants;
- les types de crédits compensatoires ainsi que leur reconnaissance sur les marchés du carbone.
Engagements et implications
Cette seconde fiche met en lumière les éléments à considérer avant de s’engager sur les marchés du carbone ainsi que les types de contrats et d’offres pouvant être proposés aux productrices et producteurs agricoles.
Agir avec prudence
Cette troisième fiche présente les suggestions de l’Union des producteurs agricoles (UPA) en ce qui concerne la participation aux marchés du carbone. Deux approches y sont proposées : à l’échelle de l’entreprise agricole et à l’échelle de l’organisation de l’UPA.
Privilégions collectivement une agriculture bas carbone, et ce, en fonction de l’évolution des connaissances sur les pratiques accessibles à l’échelle de la ferme.